LELOUTRE INDUSTRIE — TÔLERIE INDUSTRIELLE DE PRÉCISION — DÉCOUPE LASER
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Les industriELLEs sont à l’honneur

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Les industriELLEs sont à l’honneur

Aujourd’hui les industriELLEs sont à l’honneur avec le portrait de Sylvie, secrétaire assistante comptable chez Leloutre Industrie.

Anciennement formatrice en prothésie ongulaire💅, elle a dû fermer sa structure suite à la forte concurrence engendrée par internet.
Sylvie a donc changé de chemin et opté pour le secrétariat et l’administration. Un choix qui l’a mené chez Leloutre industrie, spécialiste en tôlerie industrielle de précision. 🦾
Aujourd’hui Sylvie est une #industriELLE polyvalente qui a su créer sa place et occupe maintenant un poste essentiel dans l’entreprise. Sylvie ne regrette pas son choix et s’épanouit pleinement dans l’industrie.

😀 LELOUTRE INDUSTRIE – Tôlerie Fine de précision est à la recherche de 2 techniciens d’usinage 👉 n’hésitez pas à postuler !

#womenpower #avenirpro #choix #vie #alternance

RESSOURCES HUMAINES : Guillaume BERTRAMO

« Le temps passe si vite !
Guillaume BERTRAMO déjà 25 ans que vous consacrez au service de LELOUTRE INDUSTRIE – Tôlerie Fine de précision ! Nous ne pouvons pas exprimer à quel point nous sommes heureux et reconnaissants de ce que vous apportez à notre équipe. Sans aucun doute, vos #compétences et vos #talents ont été l’un des moteurs de notre succès global.
Vous avez témoigné toute ces années de votre #loyauté envers @leloutre industrie. L’occasion de vous exprimer notre gratitude pour ces nombreuses années de service.
Malgré les #défis et les obstacles que notre équipe a rencontrés, vous avez toujours fait face à chacun avec #professionnalisme et #positivité pour résonner dans toute notre organisation.
Les coéquipiers comme vous sont rares, et nous sommes honorés de vous compter parmi nous.
Nous sommes fiers de franchir avec vous un nouveau cap de #modernisation et d’investissement : De nouveaux défis vers l’#industrie 4.0 que vous accompagnez avec le même engagement que votre dévouement à notre mission, à notre vision et aux valeurs de notre entreprise.
Mercis Guillaume
Avec le soutien du Ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance la Région Sud – Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Métropole Nice Côte d’Azur

Crédit photos Elisabeth Rossolin

#engagement #gratitude

Publication Originale : https://www.linkedin.com/posts/corinne-bernardo-7b2a0812b_compaeztences-talents-loyautaez-activity-6844214469887893505-Eree?utm_source=linkedin_share&utm_medium=member_desktop_web

 

2021 : Article La Tribune

Un bel article nous met en lumière sur le site Région Sud La Tribune et aborde notre expertise :

Pour son cinquantième anniversaire, Leloutre Industrie, située à La Gaude près de Nice et spécialisée dans la tôlerie de précision, investit plus d’un million d’euros pour moderniser et automatiser son atelier. Cet investissement permet à l’entreprise de progresser vers l’industrie 4.0, intégrant des technologies avancées pour renforcer son efficacité et sa compétitivité. Cette modernisation représente une étape stratégique vers un avenir axé sur l’innovation et la robotisation, essentiel pour la pérennité de l’entreprise dans le secteur industriel.

Retrouvez l’article complet sur ce lien.

RESSOURCES HUMAINES : L’art de transmettre 42 ans d’expérience et de connaissances


Victor Albarracin est entré chez Leloutre Industrie en 1979. Issu d’une

école de dessin industriel et après une première expérience de 6 ans en

Argentine d’où il est originaire, il débute dans l’atelier. Tout d’abord comme

outilleur. « Je fabriquais les outils pour les presses. Par la suite, j’ai travaillé

sur toutes les machines de l’atelier. On prenait en charge la fabrication des

pièces du début jusqu’à la fin: cisaillage, traçage, poinçonnage, pliage,

soudure, ponçage et contrôle final ! Après 12 années, j’ai eu envie d’évoluer.

Je souhaitais me diriger vers la programmation sur «Trumagraph», l’ancêtre

de la CFAO. Un outil de programmation déporté, associé à notre première

machine de découpe laser. Une façon de revenir à ma formation initiale.

M. Claude Leloutre a accepté et m’a offert cette opportunité de progression ».

L’intégration d’une solution de CAO en 1996 le conduit au poste de

dessinateur d’étude. Un métier qu’il nous explique avec passion : « À partir

des plans clients, je dessine les pièces en 3D et génère un fichier STEP.

C’est un format qui permet l’échange de données entre systèmes CAO.

Puis je le contrôle et vérifie qu’il soit conforme au plan d’origine et qu’il

respecte les exigences et tolérances clients. Les pièces de tôleries en 3D

sont mises à plat. C’est ce fichier du “déplié de la pièce” qui sera transmis à

la poinçonneuse ou à la découpe laser. Ce fichier, au format DXF, pourra être

“lu” par les machines de production et converti pour réaliser le programme

de découpe et d’imbrication. Les pièces mécaniques suivent le même

processus, hors la mise à plat, et sont à disposition des centres d’usinages

par enlèvements de copeaux ».

Ce processus semble complexe, mais pour Victor Albarracin, rien de plus simple : « Nous travaillons avec TopSolid depuis 1996. C’est un leader mondial dans l’édition de logiciels de CAO/FAO, en particulier pour les applications tôlerie : leurs solutions accompagnent la mise en oeuvre des moyens de production automatisés et s’intègrent dans la chaîne numérique : conception, fabrication et gestion au sein de l’entreprise. Toutes ces modélisations sont facilitées par des modules de calculs puissants, collaboratifs et rapides, pour toujours plus d’efficacité.

Pendant 25 ans, j’ai pu suivre toutes les formations et évolutions des solutions TopSolid®, intégrées aujourd’hui en version 7, pour rester à la pointe de la technologie. Elles nous permettent de suivre toute “la vie” d’une pièce depuis sa conception : numéro du plan, indices, nomenclature, matières, et traçabilité… Leloutre Industrie conserve cet historique, ce qui nous permet d’être réactifs en cas de nouvelle commande ».

En complément, Victor Albarracin s’occupe de la modélisation des outillages spécifiques et gabarits nécessaires aux fabrications et au référencement du parc outillages : « Il faut répertorier chaque nouvel outil dans la GPAO. Il pourra ainsi être pris en compte dans les solutions proposées pour obtenir le meilleur résultat. J’ai également la charge de la création des relevés de cotes et gamme d’autocontrôle, conformément aux exigences et tolérances clients ».

Et de conclure : « J’ai fait toute ma carrière chez Leloutre Industrie. J’ai eu l’opportunité de fabriquer avant de dessiner, cela m’a beaucoup aidé. Je vais partir, mais avec William, la relève est assurée. Nous le formons avec Sébastien depuis son arrivée. C’est du sang neuf pour Leloutre Industrie ! ».

William Brault est-il prêt à relever ce challenge ? « En tout cas, on me donne toutes les armes pour ! Ce poste correspond parfaitement à ma formation : j’ai obtenu un bac professionnel de technicien d’usinage en 2015, puis un BTS industrialisation des produits mécaniques. J’y ai appris la gestion de la production, son organisation, et j’ai acquis de bonnes connaissances dans le domaine de la fabrication de pièces destinées à l’industrie. C’était en 2017. J’ai poursuivi en 2018 par une licence professionnelle en gestion de la production industrielle, qui m’a permis d’avoir une vision plus globale sur les méthodes, l’optimisation des process, l’exigence de qualité… ».

Après ses études, William Brault a commencé son parcours professionnel comme dessinateur industriel chez Coquelin Matériel, en Bretagne, avant de rejoindre la Côte d’Azur fin 2019. Là, il est embauché, toujours comme dessinateur industriel à Carros. Hélas, la crise Covid frappe et son contrat prend fin. Il retrouve un poste qui ne lui convient pas parfaitement et répond à une offre d’emploi, qui le mène chez Leloutre Industrie. « Ce qui m’a plu, c’est le challenge. Je n’ai que 23 ans et je dois remplacer quelqu’un qui a plus de 40 ans d’expérience. On me fait confiance, je suis accompagné par deux personnes qui connaissent parfaitement le métier et la société. J’ai bénéficié depuis mon arrivée de 3 sessions de formations certifiantes, au total 6 jours dans le cadre du dispositif Convention Relance Industrie (CRI 2021), cofinancé par l’opérateur de compétence interindustriel OPCO 2I et le Fonds National de l’Emploi. Il y a un vrai transfert de compétences, c’est très appréciable. On n’a pas perdu de temps et j’ai très vite pris mes premiers dossiers ».

Sébastien Tofani est le « deuxième homme» de la transmission. Son parcours chez Leloutre Industrie l’a amené à occuper le poste de technicocommercial. « Une proposition de la direction qui représentait une belle progression de carrière que je ne pouvais pas refuser ». Il a suivi une formation en productique (BEP, Bac professionnel et BTS) et est entré dans l’entreprise en 2001. « J’ai commencé aux côtés de Robert Delfino, sur la poinçonneuse, pendant 3 ans. Puis avec Franck Guiliano, à la découpe laser, pendant 8 ans. Et enfin à la CAO. Le fait d’avoir cette double expérience atelier / CAO a amené Denis Leloutre à me proposer de l’épauler en tant que technico-commercial. L’idée est simple : il faut savoir comment fonctionnent les machines et l’atelier pour conseiller au mieux les clients. Le fait de connaitre les contraintes me permet de leur dire ce qui est réalisable, ou d’adapter leur demande si besoin et de réaliser un chiffrage au plus près des temps opérationnels ».

« Je réalise les devis, les méthodes et les gammes de fabrication, c’est-à-dire toutes les opérations nécessaires à la fabrication des pièces de tôlerie demandées. Je gère les appels d’offres aux sous-traitants, par exemple les traitements de surface. Je fais une première estimation des délais. Je réceptionne les commandes des clients et vérifie qu’elles sont conformes aux devis établis en amont des approvisionnements, de la planification, du lancement et du suivi en fabrication assurés par Messieurs Bertramo (resp. achats qualité) et De Oliveira (chef d’atelier).

Et bien sûr, avec Victor, je forme William aux spécificités du métier de la tôlerie industrielle. Nous partageons avec lui nos expériences. Et comme côté utilisation du logiciel, tout va déjà très bien, j’ai une grande confiance ! ».

Vous avez un profil type Niveau Bac Pro en productique, Bac +2 en Productique et/ou Génie Mécanique, BTS Industrialisation des produits mécaniques, CQPM Opérateur Régleur sur Machine-Outil à CN de production par enlèvement de matière (MQ8811740009), CQPM Technicien d’usinage en système automatisé. N’hésitez pas à nous faire suivre des CV !

Nous serons heureux de vous accueillir sur notre stand N°36. L’occasion de nous rencontrer, d’échanger et de vous présenter plus en détail les solutions que Leloutre Industrie peut vous proposer. Pas encore inscrit ? C’est gratuit et c’est ici: https://www.weezevent.com/19eme-industria-mediterranee

Merci Com.DZ et Christophe Baldet pour cet échange

et la qualité de ces interviews métiers !


 

RESSOURCES HUMAINES : Deux fois 35 ans d’ancienneté, de passion et de savoir-faire

Deux fois 35 ans d’ancienneté,

de passion et de savoir-faire

© Elisabeth Rossolin

Robert Delfino


Robert Delfino a débuté comme ajusteur.

« J’ai été embauché en mai 1986, par M. Claude Leloutre, le fondateur
de Leloutre Industrie. Avant, j’avais travaillé 4 ans chez un de ses soustraitants,
“Précis Nice”. »

Et de se souvenir : « À l’époque, il fallait savoir tout faire, sur toutes les
machines : cisailles, poinçonneuses, plieuses, soudure par points.
On fabriquait les pièces pour le médical, l’électronique, l’aviation…
Tout à la main et de A à Z ! »

« J’ai ensuite commencé à travailler sur une poinçonneuse numérique. Une “Pierce All”. Il fallait créer le programme ISO, rentrer les lignes de
codes pour lui indiquer toutes les étapes à suivre. »

« En 1989, nous avons reçu un centre d’usinage Trumpf 240 et deux ans après, un deuxième Trumpf 240 Laser qui combinait poinçonnage et laser.
Le premier du département ! Avec une “vraie commande numérique conversationnelle ” : les programmes de découpe étaient réalisés par le logiciel de la machine. Ça nous a fait gagner en productivité. »

« J’aimais beaucoup travailler sur cette machine. Tout commence avec le poinçonnage. C’est la première opération de découpe des pièces à fabriquer. Petit à petit, pour gagner encore en productivité, on s’est tous spécialisés sur une machine. Je n’ai pas hésité. En 2008, nous avons reçu une poinçonneuse de nouvelle génération équipée d’une tête tournante, sur laquelle je travaille toujours. Une Trumpf 3000R. Elle est capable de réaliser des opérations de taraudages, pliages, nervurage et bordage. C’est un plaisir de travailler sur de belles machines comme ça. Ça peut faire sourire, mais le jour où je vais partir, elle va me manquer ».

Robert Delfino a également la responsabilité de la maintenance de « sa » machine.
« Le constructeur assure une révision annuelle. Mais pour
tout le reste, c’est moi qui m’en occupe ».

Quand la machine est arrivée, Robert Delfino a suivi une formation
d’une semaine dispensée par le constructeur. Puis il a bénéficié de
l’accompagnement de Trumpf plusieurs jours sur site.

« Ce que je regrette, c’est qu’il n’existe pas de formation dédiée au
poinçonnage dans les lycées professionnels. Les jeunes ne savent pas
comment ça fonctionne et ne sont pas formés à ces technologies qui sont pourtant une étape essentielle de notre activité industrielle ! ».

Alors, pour assurer la transmission de ce savoir-faire unique , Robert Delfino a formé
un jeune technicien : Mickaël Vette rentré en 2017. Franck Guiliano l’a
également formé à la découpe laser. Mickaël est ainsi polyvalent. « Je suis confiant : la relève est assurée ! ».

Franck Guiliano


Franck Guiliano est arrivé juste après Robert Delfino.

« J’ai passé un CAP d’électromécanique et après l’armée, j’ai été
embauché comme apprenti chez un électricien. Robert est un ami
d’enfance. Un jour il m’appelle pour me dire que Leloutre Industrie
recherchait un ouvrier supplémentaire. J’ai fait un mois d’essai et j’ai été
embauché.
Je n’y connaissais rien. J’ai appris toutes les bases : la découpe sur
cisaille, le traçage des pièces au “trusquin”, le pliage. Il n’y a que la
soudure que je ne faisais pas. Alors j’ai demandé à apprendre. C’est
important de savoir tout faire. J’ai été formé à la soudure “TIG”, pour
“Tungstène Inerte Gaz”. Et je me suis spécialisé à ce poste. L’acier, l’inox,
l’alu, mais aussi le ponçage et les finitions
. En 1991, j’ai travaillé en binôme avec Denis Leloutre pour mettre en oeuvre la Trumpf 240 combinée laser-poinçonnage. C’était les
débuts de l’utilisation de cette technologie. La machine faisait 750 watts, aujourd’hui elle en fait 3000 ! J’ai trouvé les possibilités offertes passionnantes. Alors je me suis spécialisé dessus. »

Quelles sont les principales évolutions entre cette première machine et
la Trumpf L2530 sur laquelle il travaille aujourd’hui ?

« La vitesse, la puissance et la précision ! On peut découper des métaux
entre 0,2 et 20mm d’épaisseur. On travaille l’aluminium, l’acier, l’inox, le
titane. Cette exigence de précision implique de grandes responsabilités.
Je dois m’assurer que la pièce que nous allons fabriquer respecte à 100%
le cahier des charges. Il faut aussi optimiser l’utilisation de la matière dans
la géométrie de la tôle, en fonction de la forme à découper.
Concernant l’entretien “régulier” de la machine, c’est moi qui m’en
occupe. Un technicien passe une fois par an pour une révision générale.
J’assure également la maintenance des autres machines de l’atelier et
renouvelle périodiquement mon habilitation électrique. »

Les perspectives pour demain ?

« La technologie laser fibre, avec une augmentation de la puissance et
des performances machines. Nous pourrons y avoir accès dans le cadre
du “plan de relance” et de “l’Aide à l’investissement de transformation
vers l’industrie du futur”
.
Nous préparons l’accueil de cette technologie en 2022. Nous pourrons
travailler sur des matériaux que nous ne pouvions pas traiter avec le laser
CO2, comme le cuivre et le laiton ».

Chez Leloutre Industrie, nous considérons que les ressources humaines
sont au coeur de nos performances
. Nous sommes heureux de voir
l’attachement de nos collaborateurs à transmettre leurs compétences à
la jeune génération. Nous sommes fiers de leur engagement à partager
nos valeurs de précision, de qualité et de service. Un grand merci à
Robert Delfino et Franck Guiliano pour leur fidélité.

Nous vous donnons rendez-vous au mois de septembre pour notre
prochaine newsletter, dans laquelle nous poursuivrons cette série de
portraits qui font la richesse de notre entreprise.

Nous sommes à la recherche de profils type Niveau Bac Pro en
productique, Bac +2 en Productique et/ou Génie Mécanique, BTS
Industrialisation des produits mécaniques, CQPM Opérateur Régleur
sur Machine-Outil à CN de production par enlèvement de matière
(MQ8811740009), CQPM Technicien d’usinage en système automatisé.

N’hésitez pas à nous faire suivre des CV !


Novembre 2021 : Nice-Presse

Nouvel article mettant en lumière notre entreprise Leloutre Industrie !

Nice Presse a abordé les avantages du Plan France Relance dont nous avons pu bénéficier pour nos investissements.

Pour rappel, le Plan France Relance propose des aides permettant de soutenir les entreprises locales et d’encourager la relance économique, avec des subventions et des dispositifs d’accompagnement pour la transition écologique et numérique des entreprises de la région.

Retrouvez l’article complet ici !

2021 : Tribune Côte d’Azur

Tribune Côte d’Azur nous a consacré un article mettant en lumière nos métiers :

Leloutre Industrie, une entreprise familiale spécialisée dans l’usinage de précision pour divers secteurs comme l’aéronautique, le BTP et la défense, bénéficiera du financement du Plan France Relance pour moderniser ses installations. Ce soutien permettra d’investir dans de nouvelles machines et d’augmenter les capacités de stockage pour soutenir sa croissance. Malgré une baisse de chiffre d’affaires de 9 % en 2020 due à la pandémie, l’entreprise prévoit d’atteindre un chiffre d’affaires annuel de 1,5 million d’euros et de poursuivre son expansion dans des locaux plus grands.

2021 : Le Journal Des Entreprises

Le Journal des Entreprises parle de nous !

Selon l’article, Leloutre Industrie, spécialiste de la tôlerie de précision dans les Alpes-Maritimes, fait face à une baisse de 15 % de son chiffre d’affaires en 2020 due à la crise sanitaire, mais reste déterminée à poursuivre ses investissements pour l’industrie 4.0. L’entreprise maintient son plan de développement pour moderniser ses équipements et répondre aux exigences de ses clients dans des secteurs variés comme la défense et les transports. Malgré les difficultés, elle se concentre sur la digitalisation et l’automatisation pour renforcer sa compétitivité dans un contexte de marché exigeant.

 

Leloutre Industrie est certifiée ISO 9001

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